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    Ce blog est maintenant intégré en totalité à la rubrique Chroniques maxiennes du blog http://clinamen.eklablog.com/

     

     


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  • Nous reprenons le parcours à l'endroit où la panne l'avait interrompu : quelques kilomètres avant Cahors, en contrebas du village du Pech.

    La température est descendue jusqu'à - 4 degrés, nous avons dû nous armer de nos pyjamas en fourrure. Le dentifrice fige dans les tubes. Les cultures ont probablement souffert... Le ciel est bleu, la campagne est blanche.

    Ce soir, le bivouac est prévu à Labastide-Marnhac, soit une marche d'environ 20 km.

    27 avril, le redépart.

    27 avril, le redépart.

    Euh... un chien s'est caché dans cette photo, j'aimerais bien savoir où.

    27 avril, le redépart.

     

     

    27 avril, le redépart.

    27 avril, le redépart.

    27 avril, le redépart.


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  • Avant de remettre en état les circuits électriques, il est nécessaire de comprendre leur fonctionnement. Parce que ce n'est pas mon cas : je n'ai jamais eu affaire à une telle installation, je suis incapable de dépanner ce qui panne et repanne depuis plusieurs jours.

    Sur internet, je finis par dégoter un site à mon goût : "Le camping-car pour les nuls", plutôt complet, écrit par quelqu'un qui a pratiqué, et réfléchi à sa pratique. Les billets techniques sont très clairs et éclairants. En trois jours, en consultant aussi de nombreux forums, je comprends ce que je dois faire. Deux jours encore pour choisir le matériel que je dois acheter, puis trois jours pour qu'il soit livré.

    J'ai acheté un panneau photovoltaïque de 170 W, un régulateur de charge pour icelui, un chargeur de batterie sur secteur, un contrôleur de tension et de charge des batteries, un disjoncteur différentiel pour éviter l'électrocution en cas de fuite du 240 V vers la carrosserie, il n'y en avait pas ! Le transfo que je remplace par un chargeur avait brûlé, des pièces métalliques avaient fondu, le camion aurait pu brûler lui aussi.

    Du 2 au 25 avril (article technique).

    Il me faut plus d'une semaine pour installer tout ça, je suis d'une lenteur tout à fait remarquable. Par exemple, l'installation du contrôleur de tension me demande environ 8 heures : il y a 8 fils à installer.
    J'ai remplacé les deux gros coupe-circuits associés chacun à un petit interrupteur par un seul coupe-circuit, qui à mon avis suffit largement.
    J'ai fabriqué deux borniers, où se fixent les cosses des fils, en utilisant des pièces appartenant à des mécanismes de volets roulants électriques et à un cobra, dispositif de regroupement des câbles d'ordinateur sur un bureau, dont j'ai seulement utilisé la semelle. C'est d'ailleurs peut-être un boa. Ou un lampropeltis getulus, ou une vipère du Gabon.

    Tout est prêt, je mets l'ensemble sous tension avant de replacer les fusibles...
    Ça ne fonctionne pas ! Un relais bat dans le coupleur, la tension en sortie est fantaisiste. Le coupleur avait subi la surtension et la fonte du transfo, il a dû en être victime. Je vais en acheter un autre, je le branche, les symptômes sont toujours présents... Après une longue réflexion, je taille dans le vif : certains fils de masse me paraissent superflus, je rationalise par le vide, ça fait plus propre, et il me semble que certains fils étaient mal serrés. Résultat : ça marche.
    Il me restera à revendre un des deux coupleurs, en plus de deux régulateurs de charge qui me restent sur les bras...

    Pendant quelques jours, je vérifie le bon fonctionnement des panneaux solaires, je règle les seuils de tension sur le chargeur et le contrôleur...

    Toujours dans ma démarche d'amélioration continue et permanente, j'ajoute quelques petits éléments de confort au camion : une tablette sur le tableau de bord, des fixations des couvercles de casseroles qui jouaient au cymbales (dispositif à breveter), et au-dessus du lit, au plafond, des rails pour ranger le plateau de la table, ce qui permet de libérer de la place derrière le siège du conducteur. Une amélioration notable consiste à ne pas emporter les vélos, qui nous ont principalement servi, jusqu'ici, à nous prendre des coups derrière la tête quand nous fermions les portes arrière du camion.

    Le 21 avril, nous sommes prêts à repartir. Je m'accorde quelques jours de détente, puis nous laissons passer trois jours de pluie. Le mercredi 26 avril, nous repartons.

     


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    Au matin, il pleuvotte. Le système électrique du camion ne fonctionne plus. Nous rentrons à la maison.


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  • De Limogne-en-Quercy à Cahors.
    Ou plutôt à Saint-Pierre-Lafeuille, à 10 km plus au nord, où nous trouvons un camping ouvert.

    En début d'après-midi, j'ai remplacé le coupleur-séparateur, qui couple la batterie principale (celle du camion, qui sert par exemple à actionner le démarreur) et la batterie auxiliaire, alimentant le frigo, la pompe à eau de l'évier et les éclairages intérieurs, et permet la charge de l'une et l'autre par l'alternateur ou le panneau solaire selon des règles qui ne font pas rire le profane.

    En réalité, le camping qui nous accueille est fermé, puisqu'il n'ouvre que le premier avril. Mais Martine, au téléphone, obtient qu'on nous accueille le 31 au soir : les tenanciers vont remettre à la veille ce qu'ils avaient prévu de faire le lendemain.
    Ils s'excusent même de ne pas être tout à fait prêts, et nous remercient de leur avoir fait comprendre qu'ils n'étaient pas prêts. Les gros travaux entrepris cet hiver ont révélé que les tuyauteries d'évacuation des eaux usées étaient délabrées et devaient être entièrement remplacées, ce qui n'était pas prévu.

    Le branchement électrique du camion sur le secteur ne fonctionne pas. La tension est présente jusqu'aux disjoncteurs de la borne, mais est nulle en sortie, ce qui est incompréhensible. Le campingueur me propose un branchement dont il est sûr, dans un cabanon. "C'est sûr, là, y a d'la tension", qu'il me dit. Peut-être même qu'il y en a trop : un odeur de brûlé s'élève du placard dans lequel se trouve le transfo, je débranche immédiatement le câble. Nous dormirons sans frigo. C'est à notre portée.
    Le soir, la pluie commence à tomber, ainsi que la foudre, à quelques dizaines de mètres de nous. Max gémit, ses oreilles ont dû souffrir.

     


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  • De Cajarc à Limogne-en-Quercy.

    Je posterai les photos un jour peut-être.

     


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  • De Faycelles à Cajarc.

    Mercredi 29.

    Un chien se cache dans cette photo. Saurez-vous le trouver ?

    Mercredi 29.

    Mercredi 29.

    Mercredi 29.

    Les plus de 65 ans reconnaîtront aisément une
    Ford Vedette :

    Mercredi 29.

    Dolmen de Pech Laglaire 2 (on se retient d'ajouter "Le retour") :

    Mercredi 29.

    Martine parcourt le causse, et pendanstan je suis le Lot, ses méandres, ses falaises :

    Mercredi 29.

    Mercredi 29.

    J'arrive à Cajarc, village immortalisé il y a 40 ans par Coluche.

    Mercredi 29.

    Je cherche un emplacement, dans une véritable clavicule :

    Mercredi 29.

    Le thermomètre n'indique que sa propre température, mais quand même.

    Nous camperons à proximité du Lot :

    Mercredi 29.

    Mercredi 29.

    On croirait voir Napoléon contemplant les pyramides (Figeac n'est pas loin).

    Mercredi 29.

     


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  • Photos réglementaires du départ de Montredon :

    Mardi 28.

    Mardi 28.

    Passé Figeac, j'arrive assez vite à Faycelles, très joli village :

    Mardi 28.

    Mardi 28.

    Je reçois un appel de Max, avec une photo où il pose devant une Peugeot 202. Il a la flemme de la poster sur son blog.

    Mardi 28.

    Mardi 28.

    Mardi 28.

    Martine est attendue à côté de l'église :

    Mardi 28.

    Un chien se cache dans cette photo. Saurez-vous le trouver ?

    Mardi 28.

     

     


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  • De Sénergues à Montredon, environ 40 km.

    Lundi 27.

    Lundi 27.

     Lundi 27.

     Arrivée à Conques.

    Lundi 27.

    Lundi 27.

    Lundi 27.

    Lundi 27.

    Y a pas que les vieilleries qui sont jolies. Voici l'entrée de la mairie :Lundi 27.

    Lundi 27.

    Lundi 27.

    Max est d'une corpulence fine. En 2009, nous avons eu du mal à passer sur ce pont en Mégane, avec quelques centimètres de chaque côté. Avec le camion, ce serait très facile, les roues sur les parapets.

    Lundi 27.

    Lundi 27.

    Lundi 27.

    Lundi 27.

    Lundi 27.

    Ici, on se croirait en Corse :Lundi 27.

    Je ne suis pas sûr que ça amuse mes amis corses.

    Martine et Max devraient surgir de ce chemin :

    Lundi 27.
    Mais une variante mal signalée du GR65 les égare quelques kilomètres plus au sud. Nous nous retrouvons grâce à la photo d'une chapelle, Saint-Roch bien sûr, que Martine m'avait envoyée. Je m'y étais arrêté pour cause de panorama, et il m'avait fallu plusieurs minutes pour me rendre compte de la correspondance entre la photo et l'endroit où j'étais.

    Lundi 27.

    On ne voit manifestement pas la chapelle sur la photo précédente.

    Je ne trouve pas d'endroit pour bivouaquer : l'agriculture occupe tout l'espace. De plus, Martine étant victime d'un orgelet, nous devons  descendre du plateau pour trouver une pharmacie. Puis nous passons Decazeville, pas très joli, pour nous arrêter à Montredon, pas très joli non plus, mais quand même. Nous campons au pied de l'église et des WC attenants.


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  • De Fonteilles à Sénergues.

    Belle journée en perce pective.

    Dimanche 26

    Je trouve du pain dans le village de Campuac, environ 400 habitants, dont un jeune boulanger qui affiche dans sa boutique un drapeau bleu-blanc-rouge. Le bleu est constellé des étoiles du drapeau européen, le rouge de la croix occitane. Il est probablement heureux d'habiter son village, mais je le sens incapable de beugler "on est chez nous !" au milieu d'abrutis décérébrés. Je ne lui fais pas part de mes réflexions, sinon tacitement.
    Je lui demande où trouver de l'eau pour remplir les jerrycans, il m'accompagne sur la place, fier de me montrer les nouveaux aménagements de la municipalité. Je ne retourne pas lui dire qu'il est impossible de glisser un jerrycan sous le robinet.

    Dimanche 26

    Je parcours le plateau à la recherche d'un point d'eau.

    Dimanche 26

    Dimanche 26

    Oui, c'est bien de la neige à l'horizon : le Plomb du Cantal & montagnes environnantes.
    À Golinhac, un quidam m'envoie au stade, où je trouve des robinets utilisables. Ce village de moins de 400 habitants est bien équipé, probablement grâce à la redevance versée par EDF pour son barrage sur le Lot.
    Je suis rejoint par un vieil homme, qui, fier lui aussi de cet équipement moderne, me pousse à utiliser les WC. Il insiste, me montrant qu'ils sont installés dans le local de l'arbitre, ce qui explique que je ne les ai pas trouvés.

    Dimanche 26
    Il oriente la conversation vers la production d'électricité : il a manifestement été marqué par la construction du barrage, qui a dû bouleverser le paysage de son enfance. Il m'explique tout le bien qu'il pense des crues (que le barrage doit maintenant contenir). Il a d'ailleurs écrit un livre sur le sujet, mais c'était il y a longtemps, et il ne se souvient plus quels sont les nombreux avantages des crues.
    Le plein effectué, je me mets à la recherche d'un bivouac.

    Dimanche 26

    Et je trouve un p'tit coin d'paradis, dans le village de Sénergues.
    Le village :

    Dimanche 26

    Dimanche 26
    Dimanche 26

    Le p'tit coin d'paradis :

    Dimanche 26
    où j'installe mon bureau :

    Dimanche 26
    Le paradis est représenté ici par une abominable statue de la Vierge, nichée (sans niche) dans l'angle de la maison qu'on voit de la fenêtre de mon bureau.

    Nous sommes sur le passage du chemin de Saint-Jacques. Une jolie petite église nous sépare des traditionnels WC publics propres et tout (non documentés ici) quasi systématiquement présents sur le tracé du GR65.

    Dimanche 26


    Après environ 20 km de marche, Martine & Max arrivent en milieu d'après-midi devant le camion. C'est l'avantage de l'appartement au pied des pistes.
    Un couple, elle 82 ans, lui 93, nous racontent leur vie à Sénergues. Il était plâtrier-peintre-décorateur, et ce dont il est le plus fier est sa restauration de l'abominable Vierge censée décorer la place. Je réoriente la conversation avec une grande habileté (mon visage ne trahit pas mon opinion, ce que je ne sais pas toujours faire).


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  • D'Espalion à Fonteilles (commune de Golinhac).

    Il fait beau et chaud. Ou presque :

    Samedi 25

    Samedi 25

    Aujourd'hui, je veux visiter le trou de Bozouls. Qu'est-ce que le trou de Bozouls ? Je ne sais pas, c'est pour ça que je veux y aller.
    Eh ben c'est ça, pas un trou à proprement parler, mais c'est bien du domaine du cave surplombé par du vexe, avec au fond le Dourdou, rouge des sédiments ferreux :

    Samedi 25

    Samedi 25

    (Malheureusement, le ciel gris écrase le relief).

    Je suis secoué par des rafales de vent et une belle averse. Martine doit apprécier ses chaussures imperméables et son pantalon de pluie. Elle m'appelle justement, pour me faire part de l'inétanchéité de son K-Way et se réjouir de la présence d'une église. Max se réjouit encore plus :

    Samedi 25

    À leur demande, je retourne à Espalion pour acheter un K-Way et une cape. À ma sortie d'Espalion, le soleil point, il n'y a plus d'urgence.

    Ma route croise celle de M & M à Verrières. Ce hameau mérite une visite, et moi je mérite de le visiter.

    Samedi 25

    Samedi 25

    Samedi 25

    Samedi 25

    Je croise Max qui sort du hameau, accompagné de Martine, avant de reprendre la route.
    Estaing au bord du Tlo :

    Samedi 25

    La route débouche sur un plateau environ 300 m plus haut.

    Samedi 25

    Je trouve un emplacement pas loin du GR.

    Samedi 25


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  • Nos duvets sont vraiment de bonne qualité. Même Max n'a pas eu froid.
    Pas de marche prévue dans la neige, nous avançons en camion...
    Un grand bâtiment, sinistrement gris dans la neige, nous rappelle le film Shining.

    Vendredi 24
    Et ça ne s'améliore pas au virage suivant, ces bâtiments nous apparaissent lugubres..
    Vendredi 24

    La route descend, de 1200 m à 300 m d'altitude.
    Nous faisons un petit tour dans les rues de Saint-Côme-d'Olt.
    Olt, c'est le Lot. Ça aurait pu être Otl. Ou Lto.

    Vendredi 24

    Vendredi 24

    Vendredi 24

    Vendredi 24

    Vendredi 24 

    Vendredi 24
    Puis nous arrivons à Espalion, où nous passerons la nuit. C'est au bord du Tol.

    Vendredi 24
    Y a un pont, qui n'abrite pas de la pluie.

    Vendredi 24
    Martine s'achète des chaussures et un pantalon
    imperméables.
    Le vendeur vient de Marseille, où il ne supportait plus l'insécurité. Ici, ses vêtements sont exposés dans la rue, sans protection, il apprécie.


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  • Je n'ai pas besoin de me préparer pour le départ de Martine : nous sommes au bord du GR.

    Jeudi (y a pas d'gag).

    Jeudi (y a pas d'gag).
    L'étape prévue est Aumont-Aubrac. Wikipédia apprend, entre autres, que la guerre de 39-45 n'a causé aucune victime dans le village, et que Didier Barbelivien y est né. Je m'efforcerai de déterminer la relation entre ces deux faits aussi étonnants l'un que l'autre.
    Armé d'une carte routière et d'un navigateur GPS, je prends la route pour Aumont-Aubrac. À gauche de la route principale (Le Puy - Rodez), une petite route est plus proche du GR, c'est elle que je choisis.
    La pluie commence à tomber, je m'en fous, je suis à l'abri.
    Tiens, le téléphone sonne... Il y aurait du réseau ?
    Martine m'a vu passer devant elle, que je n'ai pas vue, abritée dans un bosquet. Elle veut maintenant s'abriter dans le camion, à la demande de Max.
    Le programme de la journée est donc modifié. Comme la batterie auxiliaire du camion donne des signes de faiblesse, nous décidons d'aller la faire expertiser à Millau, à 100 km d'ici par une autoroute (gratuite, Popeck serait le premier à vouloir en profiter). Le ciel est triste.

    Jeudi (y a pas d'gag).
    Et la neige se met à tomber, à recouvrir la campagne et la chaussée. Nous arrivons à Millau à faible vitesse, nous faisons rapidement remplacer la batterie, puis nous rentrons à allure modérée, les chasse-neige étant entrés en action.

    Pas d'endroit accueillant à Aumont-Aubrac, nous poursuivons vers l'ouest. L'Aubrac est beau sous la neige.

    Jeudi (y a pas d'gag).
    À Nasbinals, nous nous arrêtons sur une place au milieu du village.

    Jeudi (y a pas d'gag).
    Puis nous visitons le village.

    Jeudi (y a pas d'gag).

    Jeudi (y a pas d'gag).

    Jeudi (y a pas d'gag).

    Jeudi (y a pas d'gag).

    Jeudi (y a pas d'gag).

    Jeudi (y a pas d'gag).


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  • Mercredième journée.

    Ciel bleu, froid piquant...

    Je dépose les randonneurs à la sortie de Saugues, sur un chemin de terre, pour leur éviter quelques kilomètres sur le goudron. Étonnamment, ça n'a pas été très facile de trouver le chemin.

    Mercredième journée.

    Mercredième journée.

    Une petite sculpure est exposée dans un hameau, au bord du GR :

    Mercredième journée.

     

    Je retourne à Saugues. Il faut remplir les jerrycans, faire quelques courses, et je veux aussi voir quelques sculptures en bois qui longeaient le GR65 à l'entrée du village.

    Je comprends pourquoi le GR a été difficile à trouver, alors qu'il est très bien indiqué. Il est trop bien indiqué :

    Mercredième journée.

    La très grande sculpture d'un pèlerin attire l’œil à droite, alors que le chemin est à gauche, comme l'indique son bras, autant que le balisage sur le poteau.

    Mercredième journée.

    Mercredième journée.

    Mercredième journée.

    Mercredième journée.

    Mercredième journée.

    Mercredième journée.

    Un faux lavoir en bois !

    Mercredième journée.

    Nous avons consommé environ 90 l d'eau en 3 jours. Et il a fallu pomper !

    Mercredième journée.

    En route pour trouver le bivouac du soir.

    Mercredième journée.

    Une étape remarquable, "Le Sauvage", énorme bâtiment de granit :

    Mercredième journée.

    Et la traditionnelle chapelle Saint-Roch :

    Mercredième journée.

    avec son petit refuge, une salle ouverte à tous avec une grande table, des chaises et des cierges.

    Mercredième journée.

    Saint Roch est le patron des pèlerins, il a semé des chapelles le long du GR65.

    Bivouac en forêt, au bord du GR.

    Mercredième journée.

    Petite visite à la métropole locale, Saint-Alban-sur-Limagnole.

    Le basalte a disparu : rien que du granit, avec quelques inclusions de grès rouge.

    Mercredième journée.

    Pour ce qui est du grès rouge : rouge, c'est sûr. Du grès, chus moins sûr...

     


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  • Plus d'électricité, de la pluie : il est inutile de vouloir continuer.

    En milieu d'après-midi, nous sommes à la maison. Nous ne sommes pas déçus, mais contents de nos 11 jours de balade, contents de pouvoir profiter de cette expérience pour mieux nous préparer avant de reprendre notre voyage.


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  • De Saint-Privat-d'Allier à Saugues - 19 km - 6 h.

    Deunième journée.

    Pendant presque toute la journée, le temps est gris, comme les colonnes basaltiques et les maisons en pierres du même acabit.

    Monistrol-d'Allier est presque sinistre, avec ses maisons grises au milieu de roches grises, sous un ciel gris.

    Deunième journée.

    M & M marchent quelque part dans cette campagne. Ici, ça monte bien !

    Deunième journée.

    Saugues est un bourg agrémenté de millions de sculptures en bois, certaines étant plutôt jolies.

    Deunième journée.

     

    Deunième journée.

    Y a du mieux : cette photo était  précédemment orientée vers la droite.

    Le village est construit en granit,

    Deunième journée.

    avec un peu de basalte quand même :

    Deunième journée.

    On se croirait à Glasgow.

    Et même dans les îles Hébrides :

    Deunième journée.

    Émeline nous à fait découvrir la même sculpture en bois 2500 km plus au nord.
    D'ailleurs, elle est au pied de la Tour des Anglais :

    Deunième journée.

    Bon, fini le tourisme, je trouve un champ assez plat et horizontal, et j'arrive à cacher le camion au milieu d'arbustes non identifiés.

    Deunième journée.

    Deunième journée.

    Je vais à la rencontre de Martine à vélo, quelle aventure !

    Deunième journée.

     


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  •  Du Puy à Saint-Privat-d'Allier - 23,5 km - 6 h.

    Unième journée - J-0 - Du Puy à Saint-Privat-d'Allier - 23,5 km, 6 h.

    Départ de la rue Saint-Jacques. L'émotion est à son comble (voir photo).

    Saint-Privat-d'Allier est un joli village, bâti sur un relief volcanique accidenté.

    Unième journée - J moins zéro

    Je cherche un endroit pour le bivouac du soir. Le plateau de Haute-Loire est calme et serein sous le ciel bleu.

    Unième journée - J moins zéro

    Unième journée - J moins zéro

     

    Suite à une erreur forcément regrettable, M & M se retrouvent à 4 km au nord de la destination prévue. Mesures prises pour éviter qu'un tel drame se reproduise : avant de suivre un balisage, s'assurer qu'il s'agit du bon GR. Ici, le GR65 se mélangeait avec le GR40. Et je me suis aperçu que la carte de chaque étape qu'utilise Martine est au 1/150 000, alors que celle que j'utilise moi est au 1/50 000. Il m'est facile de lui montrer où elle s'est trompée. Et tous les soirs je photographie les cartes au 1/50 000 avec son bigophone, et non pas avec son bigorneau, imbécile de complétion automatique.

     Nuit à Marcœur

    Nuit à Mercœur, dans les bois, à une altitude fondamentalement desprogienne : 1 111 m.

    Oh !

    La canicule nocturne se limite à 3 degrés, très supportables : nos duvets se révèlent être de bonne qualité.


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  • Zéroième journée : approche prudente.

    Arrivée au Puy dimanche après-midi, ça nous laisse le temps de trouver un emplacement pour la nuit.

    Ce sera à Saint-Vidal, à quelques km du Puy. Nous sortons le salon, comme s'il faisait chaud.

    C'est notre première nuit de camping chez les sauvages.


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